J1, tentative n°1 :
Je veux vivre...
Cela fait presque un an que je pratique l'abstinence, avant cela je consommais de la pornographie quotidiennement en grande quantité. Depuis j'ai fais un bout de chemin, j'ai été jusqu'à plus de quarante jours d'abstinence et je tiens régulièrement entre une et deux semaines. J'ai besoin de passer un cap, je ne supporte plus la honte et la tristesse que cela génère en moi. Voilà en quelques mots mon point de départ.
J19, tentative n°2 :
La difficulté quand on passe un cap et qu'on avance c'est de ne pas oublier d'où on est parti. J'étais un esclave et si je recommence je redeviendrai un esclave. Le danger c'est de petit à petit se dire que finalement une fois qu'on s'en détache un peu, tout cela n'est pas si nocif et que recommencer à s'accorder ce petit plaisir ne serait pas si grave et ne serait pas vraiment une rechute... C'est ce qui m'a conduit tant de fois à être obligé de tout reprendre à zéro et j'ose espérer que cette fois sera différente car je sais que peu importe mon niveau de certitude, la possibilité de retomber est bien plus réelle que ce que j'imagine. Quand je vois un camarade du site qui rechute après plus de 100 ou 200 jours ça ne fait que le confirmer.
Finalement est-ce que la vraie force ne réside pas dans le fait d'avoir conscience de sa fragilité ? Croire qu'on peut éradiquer la fragilité est une illusion. Être fort c'est avoir conscience de sa faiblesse non pas pour chercher à la détruire, car il y a quelque chose qui nous dépasse dans notre propre faiblesse et qui est au-delà de notre volonté consciente, mais pour pouvoir agir en conséquence et ne pas tomber dans les pièges. Je suis faible à certains égards, mais j'ai la capacité de l'admettre et c'est peut-être là la meilleure protection qui existe contre mes propres failles…
J43, tentative n°2 :
Je vis une période difficile depuis quelques jours. L'idée d'avoir un rapport sexuel ne m'intéresse pas alors que le porno, lui, m'appelle intensément. J'ai beau être occupé, productif, très peu sur l'ordinateur, faire du sport, etc. rien n'y fait ! J'écris ces quelques mots en espérant que le fait d'extérioriser la chose m'aide à ne pas sombrer. C'est une véritable épreuve.
J1, tentative n°3 :
Comme je le soupçonnais, j'avais déjà cédé mentalement depuis quelques jours. Mon plus gros problème c'est le porno, j'ai envie d'en consulter sans pour autant me masturber et sans même être excité, mais au bout d'un certain temps devant ces images l'excitation finit par monter et me conduit à la masturbation.
Au-delà de ce manque de maturité, je dois cet échec aux conditions que j'ai créées. Si je veux réussir je dois être très rigoureux avec les écrans et y passer moins de temps. La forte sécrétion de dopamine que génère le fait de jouer à un jeu, de consulter un réseau social ou de regarder un film ou une série conduit à une accoutumance à cette grande quantité de dopamine. La suite n'est que pure logique, l'accoutumance réduit l’efficience de la dopamine et le corps réclame plus de dopamine. Qu'est-ce qui permet une sécrétion de dopamine encore plus grande ? Un porno qui entraîne mécaniquement une branlette...
Une autre chose intéressante que cette expérience m'a révélé, c'est que la manière dont on commence une journée est très importante et déterminante pour le reste de la journée. Je vais m’efforcer d'y faire plus attention et voir quels seront les résultats.
Désormais j'ai un regard encore plus précis et lucide sur mon problème avec le porno. Si je ne fais pas de sur-rechute cela devrait aller. Je n'ai pas tout perdu car pendant cette abstinence j'ai mis en place une routine qui me permet d'être en bonne condition. Maintenant je dois faire un effort de rigueur et rester bien concentré pour ne pas faire de sur-rechute.
J7, tentative n°4 :
Je me rend compte que je venais beaucoup trop sur le site. Le fait d'être trop présent n'aide pas à se détacher de son addiction et vivre une vie normale. Donc je ne viens plus pointer tous les jours, en plus ça m'évite de voir que pour le moment mon compteur est retombé bien bas. Mis à part cela, j'ai également installé OpenDNS pour bloquer tous les sites avec du contenu pornographique. J'espère que ces ajustement dans ma stratégie porteront leurs fruits sur la longue durée...
J17, tentative n°4 :
Depuis quelques jours je constate que je prend les choses (en rapport avec l'abstinence) avec beaucoup plus de détachement : l'idée d'échouer ne m'angoisse pas. Je ne pense plus autant à l'abstinence et donc je ne pense plus autant à ce que je ne dois pas faire. Dépasser la peur de la rechute est un vrai soulagement, on se sent beaucoup plus tranquille, plus serein et ça aide beaucoup.
Je veux vivre...
Cela fait presque un an que je pratique l'abstinence, avant cela je consommais de la pornographie quotidiennement en grande quantité. Depuis j'ai fais un bout de chemin, j'ai été jusqu'à plus de quarante jours d'abstinence et je tiens régulièrement entre une et deux semaines. J'ai besoin de passer un cap, je ne supporte plus la honte et la tristesse que cela génère en moi. Voilà en quelques mots mon point de départ.
J19, tentative n°2 :
La difficulté quand on passe un cap et qu'on avance c'est de ne pas oublier d'où on est parti. J'étais un esclave et si je recommence je redeviendrai un esclave. Le danger c'est de petit à petit se dire que finalement une fois qu'on s'en détache un peu, tout cela n'est pas si nocif et que recommencer à s'accorder ce petit plaisir ne serait pas si grave et ne serait pas vraiment une rechute... C'est ce qui m'a conduit tant de fois à être obligé de tout reprendre à zéro et j'ose espérer que cette fois sera différente car je sais que peu importe mon niveau de certitude, la possibilité de retomber est bien plus réelle que ce que j'imagine. Quand je vois un camarade du site qui rechute après plus de 100 ou 200 jours ça ne fait que le confirmer.
Finalement est-ce que la vraie force ne réside pas dans le fait d'avoir conscience de sa fragilité ? Croire qu'on peut éradiquer la fragilité est une illusion. Être fort c'est avoir conscience de sa faiblesse non pas pour chercher à la détruire, car il y a quelque chose qui nous dépasse dans notre propre faiblesse et qui est au-delà de notre volonté consciente, mais pour pouvoir agir en conséquence et ne pas tomber dans les pièges. Je suis faible à certains égards, mais j'ai la capacité de l'admettre et c'est peut-être là la meilleure protection qui existe contre mes propres failles…
J43, tentative n°2 :
Je vis une période difficile depuis quelques jours. L'idée d'avoir un rapport sexuel ne m'intéresse pas alors que le porno, lui, m'appelle intensément. J'ai beau être occupé, productif, très peu sur l'ordinateur, faire du sport, etc. rien n'y fait ! J'écris ces quelques mots en espérant que le fait d'extérioriser la chose m'aide à ne pas sombrer. C'est une véritable épreuve.
J1, tentative n°3 :
Comme je le soupçonnais, j'avais déjà cédé mentalement depuis quelques jours. Mon plus gros problème c'est le porno, j'ai envie d'en consulter sans pour autant me masturber et sans même être excité, mais au bout d'un certain temps devant ces images l'excitation finit par monter et me conduit à la masturbation.
Au-delà de ce manque de maturité, je dois cet échec aux conditions que j'ai créées. Si je veux réussir je dois être très rigoureux avec les écrans et y passer moins de temps. La forte sécrétion de dopamine que génère le fait de jouer à un jeu, de consulter un réseau social ou de regarder un film ou une série conduit à une accoutumance à cette grande quantité de dopamine. La suite n'est que pure logique, l'accoutumance réduit l’efficience de la dopamine et le corps réclame plus de dopamine. Qu'est-ce qui permet une sécrétion de dopamine encore plus grande ? Un porno qui entraîne mécaniquement une branlette...
Une autre chose intéressante que cette expérience m'a révélé, c'est que la manière dont on commence une journée est très importante et déterminante pour le reste de la journée. Je vais m’efforcer d'y faire plus attention et voir quels seront les résultats.
Désormais j'ai un regard encore plus précis et lucide sur mon problème avec le porno. Si je ne fais pas de sur-rechute cela devrait aller. Je n'ai pas tout perdu car pendant cette abstinence j'ai mis en place une routine qui me permet d'être en bonne condition. Maintenant je dois faire un effort de rigueur et rester bien concentré pour ne pas faire de sur-rechute.
J7, tentative n°4 :
Je me rend compte que je venais beaucoup trop sur le site. Le fait d'être trop présent n'aide pas à se détacher de son addiction et vivre une vie normale. Donc je ne viens plus pointer tous les jours, en plus ça m'évite de voir que pour le moment mon compteur est retombé bien bas. Mis à part cela, j'ai également installé OpenDNS pour bloquer tous les sites avec du contenu pornographique. J'espère que ces ajustement dans ma stratégie porteront leurs fruits sur la longue durée...
J17, tentative n°4 :
Depuis quelques jours je constate que je prend les choses (en rapport avec l'abstinence) avec beaucoup plus de détachement : l'idée d'échouer ne m'angoisse pas. Je ne pense plus autant à l'abstinence et donc je ne pense plus autant à ce que je ne dois pas faire. Dépasser la peur de la rechute est un vrai soulagement, on se sent beaucoup plus tranquille, plus serein et ça aide beaucoup.