Antifap : Individu franc-comtois qui cherche à s'émanciper du cercle vicieux dit « PMO », porno-masturbation orgasme.
Inscrit depuis mai 2019 sur cette plateforme, je lutte activement pour retirer ces plaisirs malsains et contre-productifs que sont la masturbation compulsive, qui rythmait hélas mon rythme de vie depuis mes 11 ans, depuis 2015, et la pornographie.
Les effets ressentis post craquage, peu importe la durée de l’abstinence, sont chez moi les suivants :
- Tolérance face aux problèmes du quotidien réduite
-Appréhension et sentiment de honte avant et pendant interaction avec quelqu’un.
-Léger repli sur soi-même
-Réactivité réduite
-Sentiment d’être largement inférieur aux autres.
-Sentiment d’être indigne et « sale ».
À raison d’un craquage (Fap) par semaine en moyenne avant inscription, ces effets secondaires avaient un impact fortement nuisible sur mon train de vie, et c’est pour réduire tout cela que je suis présent ici.
La pornographie (même si elle a été peu présente jusqu’ici dans mon parcours) et les masturbations compulsives qui en découlent sont en effet véritablement dangereuses sur le long terme, et mon parcours ici aura su me le prouver.
Tous mes encouragements à ceux qui essayent d’arrêter ces pratiques, par n’importe quel biais, ayant poussé la porte de ce site ou non. Il s’agit d’un combat de longue haleine, mais qui en vaut la peine.
Force à vous, le combat, c'est maintenant !
Inscrit depuis mai 2019 sur cette plateforme, je lutte activement pour retirer ces plaisirs malsains et contre-productifs que sont la masturbation compulsive, qui rythmait hélas mon rythme de vie depuis mes 11 ans, depuis 2015, et la pornographie.
Les effets ressentis post craquage, peu importe la durée de l’abstinence, sont chez moi les suivants :
- Tolérance face aux problèmes du quotidien réduite
-Appréhension et sentiment de honte avant et pendant interaction avec quelqu’un.
-Léger repli sur soi-même
-Réactivité réduite
-Sentiment d’être largement inférieur aux autres.
-Sentiment d’être indigne et « sale ».
À raison d’un craquage (Fap) par semaine en moyenne avant inscription, ces effets secondaires avaient un impact fortement nuisible sur mon train de vie, et c’est pour réduire tout cela que je suis présent ici.
La pornographie (même si elle a été peu présente jusqu’ici dans mon parcours) et les masturbations compulsives qui en découlent sont en effet véritablement dangereuses sur le long terme, et mon parcours ici aura su me le prouver.
Tous mes encouragements à ceux qui essayent d’arrêter ces pratiques, par n’importe quel biais, ayant poussé la porte de ce site ou non. Il s’agit d’un combat de longue haleine, mais qui en vaut la peine.
Force à vous, le combat, c'est maintenant !
Le mois prochain, dans quelques semaines, cela fera 5 ans que j'ai officialisé, formalisé mon combat contre ce que certains vantent comme "l'écoute de ses pulsions et de son corps". A l'époque, je n'étais qu'un adolescent de 15 ans, et pourtant, j'avais déjà conscience du mal que je m'infligeais depuis alors 4 ans (été 2015). Si je n'ai pas totalement réussi à évincer le "symptôme" PMO, le nombre de rechutes a considérablement diminué, passant de 2 craquages par semaine environ avant mon inscription en 2019 à 10 par an au maximum (bilan de 2023). Entre temps, j'ai cessé de pointer, par manque de temps, tout en ayant changé de mode de vie.
Cependant, la modestie me force à reconnaître que ces mauvais réflexes tendent à revenir particulièrement dans ma vie ces derniers temps, avec deux craquages distants "d'à peine" 3 semaines, le dernier en date remontant à hier soir.
J'étais alors extrêmement fatigué, à l'issue d'une période universitaire d'une intensité forte (cumul job de nuit+travail universitaire+investissement associatif+évènement récent qui, sans la présence d'un ami aurait pu prendre un tournant allant à l'encontre de mes objectifs), j'ai rechuté, ayant pourtant pris la décision de me coucher tôt, étant enfin en vacances, afin de passer une nuit réparatrice. Cependant, vers 23h, réveil, et, en dépit de l'interdiction que je m'étais fixé, JUSTEMENT à cause de ces problèmes, je décide de consulter mon téléphone, qui n'étais hélas pas en mode avion (quoique, cela n'aurait guère changé grand chose), la première chose que je tape, probablement dictée par mes pulsions est "nu artistique", et cette fois, je n'avais pas d'ami pour me tirer d'affaire.
Mes 3 rechutes pour l'année 2024 sont liées directement à ce problème de téléphone beaucoup trop proche, que je consulte dans un état beaucoup fatigué et soumis aux pulsions (un en février à l'issue de la période, un début avril, un hier soir).
Quant à hier soir, je vous laisse deviner la suite...
Encore une fois, la boucle, le brouillard mental, le sentiment que rien n'avance sur ce dossier, la perte d'énergie, et j'en passe.
Les dégâts ont cependant été limités par une nuit réellement réparatrice (12h de sommeil, contre 6 en moyenne), Dieu merci.
Je voulais une "année propre", mais je reste un être humain, et les humains peuvent parfois être leurs propre ennemis, lorsque leurs pulsions dépassent leur raison.
Soucieux d'endiguer ce problème qui intrinsèquement semble revenir dans ma vie, par mes consultations Internet, mes recherches Instagram (des comptes de plus en plus féminins, en dépit de centres d'Interets à des années lumières du phtoshooting), et face à cet inquiétant craquage allant à l'encontre de la progression réalisée depuis 2019, j'ai pris la décision de "formaliser" à nouveau ce combat, en revenant à "la maison", ici.
Ayant désormais "un peu plus le temps", je compte rester ici pendant 6 mois, la durée moyenne d'un sevrage. Je sais que j'en ai, contrairement à mon arrivée sur le site en 2019, les capacités, et qu'un minimum d'efforts est nécessaire. Ce n'est nullement un challenge, mais un cap que j'ai l'intention de franchir, et non, je ne compte pas revenir là dedans après les 6 mois.
Si je réussis, seul l'avenir pourra le dire.
En attendant, seul le présent compte.
Bon courage à toutes et à tous.