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De la dépression à l’action, ou mon combat jusqu’ici

Auteur Message

Strixdechu il y a 1 an:

Ce témoignage est littéralement un copier-coller de mon dernier pointage mais je pense qu’il est très important. Merci à ceux qui prendront le temps de le lire.

Me revoilà après 8 mois d'absence. Et je pense que, ce message-là, il risque d'être un peu long. Désolé d'avance.

Bon sang. Cela fait maintenant deux ans et demi que je suis sur ce site et j'ai fait un sacré parcours. Mon historique sur Stop Fap doit ressembler à un amas de tentatives échouées.

Pendant longtemps, ça me faisait un mal de dingue de me battre contre cette addiction. Il m'a surtout fallu énormément de temps pour ne serait-ce que comprendre l'addiction réelle que j'avais. Pour moi, c'était un mélange bizarre encore le P et la M, comme si tous mes problèmes venaient de l'un ou de l'autre et qu'arrêter serait suffisant pour aller mieux.

Je visualisais mon addiction comme un monstre difforme mille fois plus grand que moi, comme une sorte de combat contre la montre où il fallait sans cesse que je reste solide sur les appuis, dans mes bottes et dans ma tête, où le moindre faux pas serait non pas punitif mais éliminatoire, comme si la moindre rechute me ferait sombrer dans le même enfer.

Puis, un bon jour, il y a de cela 7 mois, j'ai entamé une thérapie, une vraie, avec un psychologue spécialisé en addictologie. Il m'a guidé, aidé à comprendre une quantité incommensurable de choses sur moi-même et sur mon fonctionnement.

La première étape de mon combat, c'était arrêter de me battre. Quand le psy m'a conseillé ça, dès la première séance, j'ai pété un câble et je me suis demandé où il voulait en venir.

Il m'a expliqué combien ça pouvait être contre-productif de lutter aveuglément, en comptant les jours sur une application. Au bout d'un certain nombre de tentatives, il n'y a plus la fierté d'avoir tenu cinq jours, il n'y a que la honte d'avoir échoué au sixième.

Et, évidemment, tout ce comportement addictif est littéralement BASÉ sur l'état d'esprit et l'estime personnelle. Au bout d'un moment, me voir comme une merde parce que j'échoue puis me revoir comme une merde parce que j'échoue une semaine plus tard et ainsi de suite n'a presque plus aucun sens.

On pourrait citer le ce fameux bg physicien allemand qui disait que c'est fou de faire plusieurs fois la même chose sans rien changer aux paramètres de départ et de s'attendre à des résultats différents. Mine de rien, avec ce combat et ces compteurs, c'est un peu ce que je faisais.

La deuxième étape de mon combat, elle a demandé énormément de contemplation. Globalement, ça faisait: maintenant que je suis un peu plus libre vis-à-vis de ce fardeau du jugement et que je prends le temps de pratiquer un peu plus l'auto-compassion, que je me mets moins la pression, qu'est-ce qui m'a poussé à tomber malade de ce truc ?

C'est vrai, c'est quand même dingue que je n'aie jamais vraiment pris le temps de me concentrer sur les raisons qui ont permis à cette chose de s'installer dans ma vie. Je parle alors de contemplation parce qu'il y a eu une vraie phase de curiosité par rapport à moi, à ce que je ressentais, à ce qui se passait avant, pendant, après l'adonnement à ce plaisir solitaire.

Alors, et c'est encore un pattern que je reconnais aujourd'hui, j'ai remarqué que la réponse était plus simple que je ne l'imaginais.

Ce n'est pas un alignement des astres qui me faisait craquer à chaque fois, mais juste mon état d'esprit. Aussi bête que ça puisse paraître: j'allais mal, donc je voulais aller mieux.

L'O, c'est quand même un sacré plaisir immédiat et facile d'accès, alors je mettais vite de côté tout ce qui n'était pas aussi intense.

Alors, j'ai noté comment je me sentais avec précision à chaque fois que je me faisais plaisir. C'est très simple: pas une seule fois, je dis bien pas une seule, j'allais bien et tout se passait pour le mieux. Dans absolument 100% des cas, mon état était compris entre l'ennui et la souffrance, en passant par le stress et l'anxiété.

J'ai peur que ce message paraisse idiot et presque naïf mais, comprenez bien qu'avec des années de combat, je n'avais même pas compris ça. Je n'avais même pas compris que je n'étais pas vraiment excité toutes ces fois où j'ai craqué, que je n'avais pas juste "du temps devant moi". Je n'allais pas bien, vraiment. Et je pense que nombreux sont ceux qui ne l'ont pas compris et qui prennent ça à la légère.

La troisième étape de mon combat, je crois bien que c'est la plus compliquée. Il m'a fallu passer à l'action. J'avais identifié les causes de tous ces craquages, de toutes ces fois où mon cerveau passait en mode automatique et partait systématiquement sur ce comportement addictif. Il me fallait donc trouver un moyen de changer, changer pour de vrai, pour que ces causes n'arrivent plus.

En gros, l'idée était de rendre le combat "facile", de faire en sorte que ces trois premiers jours d'abstinence de P, qui ont toujours été l'une de mes plus grandes difficultés depuis mon inscription, deviennent faciles à vivre. Ensuite, il ne manquerait plus qu'à le faire pour les trois jours d'après, puis ceux d'encore après, et ainsi de suite jusqu'à m'en sortir plus ou moins définitivement.

Alors j'ai attaqué ce qui me faisait du mal. On a discuté de mille problèmes, avec mon psy, pendant sept mois et même pas plus tard qu'aujourd'hui.

L'idée, c'était de chercher ce qui touchait vraiment à mon bien-être global. Bien sûr que je ne peux pas prédire un accident de mes proches, une dispute houleuse avec celle que j'aime, le départ en voyage d'un ami qui m'est cher, une journée un peu trop grise où tous mes potes sont un peu trop occupés, une semaine de partiels qui se passe hyper mal, un souci de carte bancaire inattendu alors que je suis à l'étranger...

Par contre, ce que je peux prédire, c'est les effets néfastes qu'auront sur ma santé mentale l'abus de nourriture grasse et de commandes beaucoup trop chères sur Uber Eats, le manque d'activité physique, le manque de sorties, le manque de contacts sociaux, la perte de temps sur des applications à scroll infini (je peux penser à TikTok, bien sûr, mais aussi à Instragram avec les reels, à YouTube avec les shorts, à Reddit, à Twitter...). Et je jure que ces petits éléments ne sont qu'une partie de ce qui me faisait le plus mal.

L'un des plus gros soucis que je rencontrais et que je n'ai d'ailleurs toujours pas tout à fait fini de gérer, c'est mon comportement addictif avec les applications de rencontres. Je suis sûr que beaucoup d'entre vous connaissent cette routine: j'installe une appli, j'ai quelques likes au début parce que je viens de m'inscrire, je discute avec une ou deux personnes si j'ai de la chance, je finis déçu et les likes diminuent autant que la qualité de mes conversations, je désinstalle l'application parce qu'elle commence vraiment à me blaser, je la réinstalle un jour parce que je me sens seul...

Bref. C'est un enfer. Et le pire dans tout ça, c'est être soi-même le bourreau qui s'inflige ça alors qu'on n'est pas du tout obligé ! C'est tellement dommage de réaliser combien quelque chose vous fait du mal et de rester quand même accroché à cette chose parce qu'on ne comprend pas qu'on a d'autres choix, ou que c'est trop difficile d'aller vers eux.

Alors, j'ai arrêté beaucoup de mes mauvaises habitudes. Il m'en reste, tout n'est pas réglé, mais j'ai essayé et j'essaie encore.

Quelle différence au quotidien ?

-Je sors un peu plus, voire beaucoup plus. Je peux aller me balader sur les quais de Lyon, tranquillement, juste pour profiter du reflet des lumières sur l'eau du fleuve, ou bouquiner un peu avec ma liseuse. Au final, le bénéfice est double: sortir plus = marcher plus = faire plus d'activité physique
-J'ai monté mes standards et j'ose les affirmer, j'ai arrêté de laisser quiconque me bousiller des journées ou me gâcher du temps alors qu'ils ne me méritent en rien (je pense surtout aux rencontres amoureuses, là)
-Je mange mieux, je cuisine beaucoup plus, je commande beaucoup moins (bien qu'il me reste des efforts à faire de ce côté)
-J'ai rencontré énormément de gens cette année, et beaucoup ont eu la chance de pouvoir rentrer dans ma vie pour de vrai
-Je médite (avec une petite application qui permet de faire des séances d'environ dix minutes, ça m'a beaucoup aidé à apprendre à être reconnaissant pour les plus petites choses, à apprécier un peu plus la beauté des choses ou même des gens qui m'entourent, à me détendre plus facilement avant, pendant, ou après une situation un peu stressante...)
-Je lis un peu plus, je recommence à écrire (ce qui a toujours été ma plus grosse passion mais ne m'inspirait plus depuis un bout de temps)

Je pourrais continuer longtemps mais ce n'est pas l'objectif. Il faut juste dire, pour résumer, que ça me fait me sentir mieux dans ma peau au quotidien. Et ce n'est que le début ! Il y a toujours une ou plusieurs pistes d'amélioration pour se sentir mieux, à mon sens. Il me reste par exemple à oser un peu plus, maintenant que j'ai jeté les applications de rencontres, aller vers les autres dans la vraie vie.

Mais revenons sur ce que ça a changé au niveau de mon addiction au P. Car, oui, à ce stade je suis plus que conscient que le problème n'a jamais été la M en soi mais bien le P.

C'est. Vraiment. Plus. Facile.

Je ne peux pas le dire autrement. Aujourd'hui, 10 jours paraissent infiniment plus faciles à vivre que l'ont été 8 heures il y a seulement 2 ans de ça ! Je me remets le compteur sur ce site pour tenir compte de mes progrès et les visualiser avec de beaux graphiques mais, je sais combien j'ai avancé au niveau de mon état d'esprit. Je ne peux que conseiller à tout le monde d'ici de songer à se questionner un peu, à aller chercher l'aide d'un professionnel de santé car ça a été un p*tain de point décisif dans mon combat.

Je me M littéralement en regardant le plafond. Si ça ne vient pas ou que l'érection a du mal à venir ou à se maintenir, alors je n'en ai simplement pas tellement envie que ça ! Je l'accepte au lieu de me mentir, au lieu de me stimuler avec du contenu néfaste juste pour me sentir bien une seconde et pleurer toute l'heure d'après.

À l'âge de 21 ans, je peux dire que j'ai connu ce que j'appelle une belle impuissance de merde. Pendant peut-être toute ma vie sexuelle, j'ai toujours eu du mal à maintenir une érection de qualité pendant mes rapports puisque j'étais carrément désensibilisé par ce P et tout ce qu'il a de néfaste. Je ne me remercierai jamais assez pour ces efforts que j'ai faits, qui me permettent de me concentrer sur l'essentiel: le contact et comment je me sens, non pas les formes de la fille avec qui je suis ou sa façon d'imiter mes actrices de P préférées. Et enfin: je bande, bon sang. Et les compliments de mes partenaires boostent pas mal l'ego, je l'avoue.

Je sais que ce n'est pas terminé, je sais que les moments difficiles me font parfois repenser à tout ça, je sais que je peux bêtement craquer à cause d'une évaluation ratée... Mais c'est devenu à un rythme tellement limité ! J'en suis actuellement à un faux pas en un mois ! Là où, avant, je voyais un échec total, puis un autre, puis un autre, et je pouvais faire sept échecs totaux en sept jours ! En voilà une belle contribution pour une bonne estime de soi...

J'ai fait la paix avec beaucoup de choses, mais avec une en particulier qui, je pense, a permis tout le reste des bonnes conséquences: je m'aime.

Je m'aime, et mon amour propre est ce qui m'a permis de prendre soin de moi, de me concentrer sur l'amélioration de ma santé tant physique que mentale. Je n'avais pas pris conscience de cet amour que j'avais pour moi quand je passais mon temps à réinitialiser ce foutu compteur. Maintenant, je sais que je fais tout ça pour moi, que rien d'autre ne compte qu'aller mieux. Et je m'aime assez pour être compatissant, pour savoir ne pas me juger quand je fais un pas en arrière, pour m'encourager de nouveau à me remettre sur la bonne voie.

C'est pour ça que je reviens ici. Je sais que mes échecs n'en seront plus. Je sais que je ne verrai plus ce compteur comme un indicateur de ma fierté, et je suis sûr que ce (trop) long message pourra profiter à ceux qui ont pris le temps de le lire.

Merci beaucoup, Stop Fap.
Que le challenge continue.
| Dernière mise à jour il y a 2 semaines #1 - Voir le message

KingG il y a 1 an:

Super témoignage ! Bizarre qu'il n'y ait eu aucune réaction !! C'est génial de lire ça, de voir que ça va mieux pour toi Je me retrouve dans beaucoup de passages !

PS: Je suis de Lyon aussi, si jamais
| Dernière mise à jour il y a 2 semaines #2 - Voir le message

Micka974 il y a 9 mois:

J'avoue super témoignage de ta part, et merci de ton expérience et surtout de la partager, ça fait plaisir ! Force à tous et à moi aussi principalement dans nos combats pour arrêter cette drogue !
| Dernière mise à jour il y a 9 mois #3 - Voir le message

yggdrasil il y a 9 mois:

Salut.
Merci pour ton témoignage. Ça me touche d'autant plus que je ressens les mêmes choses lors de certaines phases de ma vie. Et contrairement à toi, je n'ai jamais réussi à m'aimer assez pour m'imposer des limites claires.
Donc force à toi. J'espère pouvoir suivre ton exemple.
| Dernière mise à jour il y a 9 mois #4 - Voir le message

middle_boy il y a 9 mois:

Intéressant retour d'expérience, je me reconnais sur certain de tes écrits. J'ai un peu mis de coté la méditation ces dernières semaines, mais c'est surement un tort d'après ce que je lis ici. Je vois souvent les choses comme une montage infranchissable, c'est le cas avec la méditation. Bon courage pour la suite.
| Dernière mise à jour il y a 9 mois #5 - Voir le message

Gogo59 il y a 2 mois:

Ce témoignage est littéralement un copier-coller de mon dernier pointage mais je pense qu’il est...

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Merci bro 🙏🏽 force à toi
| Dernière mise à jour il y a 2 mois #6 - Voir le message

Jzuo il y a 3 semaines:

ce que t’as découvert avec ton psy, ça fait sens. le truc de "cesser de se battre" parait débile au début, mais au final, c’est tellement logique. c’est pas en te flagellant à chaque échec que tu vas avancer, bien au contraire, ça te replonge dans le cycle de culpabilité et d’échec perpétuel. donc ouais, lâcher prise, arrêter de juger chaque faux pas, c’est la clé pour avancer. t’as pris du recul, tu t’es posé les bonnes questions sur pourquoi tu craques, et surtout, t’as appris à t’observer sans juger. ça, c’est une grosse victoire.

tes trois étapes, elles sont solides. identifier les causes, changer les habitudes, tout en gardant une attitude bienveillante envers toi-même. c’est clair que quand t’es en plein dans le processus, t’as l’impression que tout est plus simple et que tu maîtrises mieux. et le fait que tu dises que 10 jours te paraissent maintenant gérables alors que 8 heures te semblaient insurmontables avant, c’est un signe de progrès énorme.

tu sembles aussi avoir bien pigé que le P, c’est pas juste une question de M. c’est un poison insidieux qui s'infiltre dans ta manière de voir les relations, le plaisir, et ça te désensibilise. maintenant, tu te focalises sur l’essentiel, le contact humain, ce que tu ressens vraiment. et bravo si tu bandes enfin comme il faut et que t’as des compliments pour ça. c’est un bon boost pour l’ego, ouais, mais aussi la preuve que t’es sur la bonne voie.

t’as encore du chemin à faire, évidemment. mais vu comment t’as avancé jusqu’ici, t’as déjà plus de contrôle qu’avant. continue à te concentrer sur toi, sur ce que tu veux vraiment, et à t’aimer sans jugement. ça fera toute la différence. bon, ton message est long comme un jour sans pain, mais t’as bien résumé l’essentiel de ton parcours, et j’espère que ça pourra aider ceux qui sont dans le même bateau.
| Dernière mise à jour il y a 3 semaines #7 - Voir le message

GauthierGauthierGauthier il y a 3 semaines:

J'ai commencé à lire le post sans m'apercevoir qu'il datait d'il y a un an.. c'est fou toutes ces personnes qui ont déserté le site. Néanmoins, ici, on pourrait être amené à penser qu'il a déserté pour arrêter de se battre contre un chronomètre.

Le psychologue d'OP amène un bon point : « arrêter de se battre ».
C'est vrai que le site peut être amené à être contre-productif, le fait de compter les jours rajoute une pression supplémentaire.. la démarche d'arrêter la PMO étant déjà assez compliquée de base. Pour être honnête, je pense que j'aurais plus de facilité à tenir sans pointer ici, mais en chemin j'ai échangé avec des gens et je continue de le faire, en chemin j'ai suivi les histoires de certaines personnes et je continue de suivre ces histoires.
Je ne sais pas si déserter le site pour mieux tenir me sera bénéfique. Concrètement, on peut tous tenir avec ce dernier, parce que ça ne relève pas de la chance mais de la volonté. La pulsion sera la même avec ou sans le site et son existence n'influencera pas nos décisions négativement, personne ne se dit « Chouette, je vais craquer comme ça je vais pouvoir l'indiquer sur le site. »

C'est d'ailleurs dans cette démarche que j'ai pris la décision d'espacer mes pointages depuis mes récentes abstinences.
Je viens toujours sur le site, même sans pointer. Mais le fait de les espacer est une première étape sur mon chemin vers le détachement.
En revanche, il sera long de se détacher du site.. nous gagnons trois jours de congés par mois d'abstinence validé et un jour de tolérance toutes les 2 semaines d'abstinence, ce qui signifie que nous sommes obligés de venir pointer régulièrement au début d'une abstinence et donc renforce la difficulté.

La première étape de l'abstinence consiste à démontrer sa volonté, une fois que cela est passé, le détachement prend place.
Après, admettons, 90 jours d'abstinence, il est inutile voire contre-productif de se rendre quotidiennement sur le site, d'ailleurs bon nombre de personnes qui sont en tête du classement ne sont pas actifs et je pense que cela constitue un bon indicateur : il faut mettre l'énergie débloquée dans d'autres tâches.


« j'allais mal, donc je voulais aller mieux. » est aussi signe que ce qui est accessible, facile, qui donne du plaisir, ne fait pas toujours partie de la bonne voie ; bien souvent, c'est le contraire.
Cela me fait penser à un passage de La voie de l'homme révélé, par David Deida :

« 44 — L'éjaculation doit être convertie ou choisie en toute conscience.
[...], observez comment vous vous sentez dans les minutes et les jours qui suivent une éjaculation.
Vous éprouvez une grande jouissance pendant quelques instants, mais le prix à payer pour cet éternuement génital sera une plus grande médiocrité dans votre vie quotidienne.
Un homme supérieur peut choisir d’éjaculer occasionnellement. Mais c’est un choix fait librement, avant même de commencer à faire l’amour, non pas une fois qu’il est trop tard, qu’il ne peut plus rien contrôler [...]. »


Pour la suite du post, je pense qu'on devrait se rassembler à plusieurs de ce site et établir plusieurs listes.

Une première liste des choses/évènements que l'on provoque qui ont un impact négatif sur notre santé mentale, des choses/évènements que l'on ne provoque pas qui ont un impact négatif sur notre santé mentale, des comportements/mindset/schémas de pensées qui ont un impact négatif sur notre santé mentale, des activités qui ont un impact négatif sur notre santé mentale, des relations qui ont un impact négatif sur notre santé mentale.
La seconde liste en serait l'extrême opposé. Une liste regroupant les choses/évènements que l'on provoque qui ont un impact positif sur notre santé mentale, choses/évènements que l'on ne provoque pas qui ont un impact positif sur notre santé mentale, comportements/mindset/schémas de pensées qui ont un impact positif sur notre santé mentale, activités qui ont un impact positif sur notre santé mentale, relations qui ont un impact positif sur notre santé mentale.

Sérieux, faut qu'on le fasse.. On en fait un post sur le forum et on le UP régulièrement pour le laisser affiché sur la page du challenge.
| Dernière mise à jour il y a 3 semaines #8 - Voir le message

cheche il y a 2 semaines:

Je viens de lire ce feed comme s'il datait de quelques jours, c'est le dernier commentaire de Gauthier qui m'a fait réalisé sa date de publication.

Honnêtement c'est un témoignage ultra puissant, c'est vraiment un bon moyen de comprendre les vices et biais de notre pulsion.

Bravo à toi 👏
| Dernière mise à jour il y a 2 semaines #9 - Voir le message

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