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Je me suis branler à côté de la mère d'un pote

Message

Anonymous il y a 2 ans:

Bonjour, alors j'avais 14 ans à l'époque et avec un pote on aller faire un camping moi lui et sa mère et il est vrai que je fantasmais beaucoup sur elle à m'imaginé des scènes érotique et on dormais à 3 dans la même tente un peu serrer et un soir je commence à regarder sa mère en me branlant sous la couchette je me pensais discret jusqu'à que mon pote me dise "arrête de bouger" je crois que c'est l'un des jours ou j'étais le moins à l'aise de ma vie j'ai plus parler de toutes la nuit je me suis mis dans mon coin et j'ai réfléchis toutes la nuit en me disant qu'il avait peu être compris ce que j'étais entrain de faire depuis ce jours j'ai plus jamais rediscuté avec ce pote ni recroisé et c'est pas la seul maman d'un pote sur laquelle j'ai fantasmé c'est ce qui me fait prendre conscience d'a qu'elle point je suis addicte. es-que je suis le seul à avoir déjà fantasmé sur la mère d'un pote? https://image.noelshack.com/fichiers/2017/16/1492881453-campe2.jpg
| Dernière mise à jour il y a 2 ans #1 - Voir le message

Anonymous il y a 2 ans:

C'est limite mignon comme histoire ! C'est normal de fantasmer sur la mère de ses potes quand on est ado. Cela m'est arrivé plein de fois.
#6 - Voir le message

Anonymous il y a 2 ans:

Bonjour, alors j'avais 14 ans à l'époque et avec un pote on aller faire un camping moi lui et sa mèr...

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On a tous connue des histoires comme ça. Ça détruit tout autour de nous. C'est pour ça qu'il faut arrêter. On sent que ça te travail, tu sembles penser que cela à casser une amitié (en faite, tu semble rien n'en savoir réellement. Ça reste qu'une supposition).

Bon courage à toi.
| Dernière mise à jour il y a 2 ans #7 - Voir le message

Anonymous il y a 2 ans:

et on dormais à 3 dans la même tente un peu serrer et un soir je commence à regarder sa mère en me branlant sous la couchette je me pensais discret jusqu'à que mon pote me dise "arrête de bouger" je crois que c'est l'un des jours ou j'étais le moins à l'aise de ma vie


On a lu la même chose ?

Avec mon addiction et mes fantasmes d'ado puis d'adulte, j'ai souvent eu également des comportements inadaptés en société. Ce qui a eu plusieurs fois des conséquences.
Si tu ne comprends, c'est que tu a jamais trop loin. Moi j'ai été tant de fois trop loin.
| Dernière mise à jour il y a 2 ans #9 - Voir le message

Anonymous il y a 2 ans:

Je t'ai fais un copier coller de ma préparation en réunion d'addict, sur mes passages à l'acte, c'est un peu long. Je pense que cela sera plus explicite, bonne lecture :


Pour moi la luxure, ça ne remonte pas avant ma période de puberté. Avant il n’y a rien.

L’âge collège a été un tournant compliqué pour moi, du plus loin que je me souvienne, certains problèmes ont commencés à cette période.

Mon souvenir le plus lointain remonte à environ 14 ans, et avec des petits camardes d’écoles, on décide d’aller chez moi, d’allez sur mon ordi portable.
Je n’avais aucune arrière-pensée quand on se qu’on allait faire sur internet, eux ci.
On a été à voir du porno, je n’en avais jamais vue avant. C’était surtout des photos dans mes souvenirs, et des images extrait de vidéo porno.
J’ai éprouvé beaucoup d’excitation devant toutes ces images.

On parla de la masturbation avec mes petits camarades. Le soir même je m’y essaya avec appréhension dans les toilettes, chez moi. Très vite, je fus partagé entre les moments d’excitation, et de culpabilité. J’y ai bien sur éprouvé beaucoup de plaisir.

Le lendemain la classe était au courant qu’on avait regardé du porno chez moi. J’ai ressentit de la honte.

Pour ce qui est de la masturbation, cela devient très vite régulier et frénétique, et très répétitif, avec par période plusieurs masturbations par jour, avec et sans supports visuels. Des périodes de visionnages de porno sur des après midi entières les mercredi . Jusqu’à en avoir mal au sexe, et avoir des blessures.

Très rapidement, vers 15 ans, mais très vite, j’ai eu des comportements sexuels particulier. J’avais pris pour habitude de m’habiller en femme, plus du maquillage, et une épilation excessive,
pour imaginer que mon corps étaient celui d’une femme, et me fapper.
Ainsi qu’utiliser des objets pour des actes sexuels divers.

Cela a durée du collège vers le lycée.
Puis un jour, vers 17 ans je crois, je me suis fais surprendre par mes parents un w.e., en pleine nuit alors que je m’étais travesti dans ma chambre et que je regardais des vidéos porno sous les draps de mon lit. (enfin je me sui surtout fais surprendre par mon père.) .
Ce fut un w.e. compliqué. J’ai eu honte que mon père me surprenne à faire ça, et j’étais terriblement mal alaise.
Plus tard mon père c’est sentie obligé de me parler de sexualité, chose qu’il n’avait jamais fais jusqu’alors.

J’ai finis par arrêté ce comportement de me travestir, alors que je n’avais jamais réussie a arrêter auparavant, malgré plusieurs tentative. Par contre la masturbation est resté la, ainsi que le porno.
A cette époque je regardais beaucoup de vidéo extrait de porno.

Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours essayé d’arrêter, ou de limiter ma conso’ de porno, déjà au collègue c’était le cas. Soit en regardant que des images érotiques/pornographique pour ne pas regarder de vidéo. Ou bien en ne regadant pas de porno du tout. Ou bien encore juste sur une période donnée arrêté tout visionnage.
J’essayais de me donner des règles, mais cela n’a jamais bien marché.
Parfois j’arrêtais tout visionnage, comme si j’en avais une overdose, que je considérais que j’en avais plus besoin, que certains contenue m’avait choqué, ou que tout simplement j’avais une réelle envie d’arrêter. Une fois de plus de plus ça durée entre 1 journée, 1 semaine, 1 mois, 2 ans, mais il y avait toujours un moment de rebascule.

J’ai toujours fais des collections de photos et vidéos, que j’ai passé mon temps à créer et supprimer.
Très tôt j’ai eu honte de ces comportement, et j’ai essayé d’arrêter tant de fois, le nombres de fois ou j’ai arrêté puis recommencé sont inquantifiables .

Même au lycée, j’étais encore capable de passé des nuits entières sur du pornos. Les scénarios et les fantasmes était bien ancrée, c’était souvent tourné sur des plaisir fétiches, des corps avec des attributs particulier, des lingeries et habits particulier, des objets sexuels, des positions particulière, et j’en passe.
Je consommais souvent quand j’avais du temps, le plaisir du soir ou du W .E.. Autant des photos que des vidéos à ce moment. Ou bien soit l’un soit l’autre selon la période.
Au lieu de bosser mes études, je regarder des contenues pornographique.
Je prenais des risques pour regarder du porno en pleine journée, ça arrivais que mon père repère mes visionnages, mais l’envie était beaucoup trop forte, je ne pouvais y résister, c’était beaucoup trop excitant.


Par contre je n’ai jamais essayé d’arrêter vraiment le fap, si ce n’est de le limiter, mais j’ai toujours eu également des conduites à risques vis-à-vis de cela également.

En internat par exemple, de 16 à 18 ans, je pouvais me fapé sous les draps de mon lit pendant que les autres dormait. Je me décomplexé en me disant que tout le monde le faisait, et d’un autre coté j’avais peur de me faire prendre par mes camarades de chambré.

Je me souviens également, toujours en internat, alors que tout le monde était couché dans sa chambre, et que presque plus aucun élève n’était la car nous étions dans les périodes dite de stage,
j’ai été me masturber en pleine nuit dans la salle télé. J’ai fais ça une fois, encore aujourd’hui je ne sais pas vraiment pourquoi j’ai fais ça, et pourquoi j’ai pris une telle prise de risque.

Même sans pornos, j’étais souvent dans la luxure, par le bié du fantasme. Je me reportais sur le corps d’ancienne petite copine, de connaissance, de fille croisé dans la rue, de camarades de classe et plus tard de collègue de travail. Ou bien je me souvenais d’une photos ou vidéos vue de pornos, d’une actrice, d’une fille sur un set de photos, ou bien d’autres chose. Ca c’était pour ainsi dire quasi tout le temps.

Je me souviens que des le lycée j’allais sur des sites de rencontres, pour aller voir des profils, sans pour autant contacter aucune femme. J’ai du commencer ce comportement vers 18 ans. Une fois de plus, cela révélé encore plus du fantasme qu’autre chose, je fantasmé sur une relation potentiel, mais l’idée de relation avec une inconnue ça me donnait envie, sans me donner envie. Même avec ma copine actuelle j’ai fais ça par période. Puis j’ai complètement arrêter cela il y a 8 ans, vers l’age de 23 ans.

Je n’ai eu que très peu de copine dans ma vie.
Ma première relation fut à 19 ans, avec une fille que j’appréciais sincèrement, et que j’aimais.
Elle avait plus d’expérience que moi, et avais une réputation sulfureuse, ce qui n’était pas pour me déplaire, elle était particulièrement doué pour certain types de rapport. Je n’ai jamais retrouvé de fille qui savait aussi bien faire la chose qu’elle par la suite.
Quelque part ça nourrit une frustration en moi, j’étais toujours dans l’attente de ce même plaisir, de cette même jouissance, sans jamais la trouver.
Pour autant malgré une relation sexuelle ultra épanouie, j’étais toujours dans l’attente de plus de plaisir fétiche, mon appétit sexuel n’était jamais rassasié. J’aurais aimé plus de lingerie, plus d’habillement particulier, etc. Bref toujours plus.

On s’est revue plus tard, et alors qu’elle n’était pas en couple à ce moment la. On n’a recouché ensemble.
On regardais des vidéos de film sur son lit (non pornographique), puis doucement ça déparait.
Finalement à la fin de ses ébats, j’ai compris que sur le moment ça l’avait autant excité que moi, mais que ce n’était pas ce qu’elle voulait entre nous.
On a en rediscuté plus tard, elle était mal allaise par rapport ce qui s’était passé, il me semble me souvenir de m’être excusé.
Femme avec qui je suis encore en contact aujourd’hui, mais il n’y a plus de luxure.

Vers 19 ans, j’ai été passé 6 semaines en Angleterre, en stage entreprise avec l’école.
Nous avons été accueilli avec une camarde de classe dans une famille qui avait trois fille.
2 chambres nous avons été laissé par la famille.
Comme d’habitude j’ai fantasmé sur 2 de leurs filles, je me fappé dans la salle de bain en pensant à elle. Suffisait d’un mot gentil de leur part, d’un sourire, pour que je me mette à fantasmer sur une histoire amoureuse et sexuelle avec elle.
Puis un jour, en faisant tomber quelque chose sous la commode, je suis tombé tombé sur un string qui était coincé derrière. Au départ j’ai trouvé ça bizarre, puis bien sur, je n’ai pu m’empêcher de le prendre.
Une fois de plus, je n’ai pu m’empêcher de l’enfiler pour fantasmer, et me masturbais. J’ai dû faire cela 2/3 fois, puis je l’ai remis ou je l’avais trouvé, en me disant que si quelqu’un s’en rendait compte que j’avais pris cette lingerie, cela serait très mal perçue.

Vers l’age de 20 ans environ, alors que j’étais cette fois ci en BTS,
il me semble avoir une période avec pas trop de porno, mais de la masturbation les soir en générale. J’avais moins d’accès à internet, je pense que cela vient de cela uniquement.

Vers 21 ans, je me retrouve avec de nouveau camarade de classe. J’entre en relation sentimentale avec l’une d’entre elle, une fille pour qui j’avais de réel sentiment.
Cette fille avait peu d’expérience dans le domaine, et aucune d’un point de vue sexuelle.
Elle avait des difficultés dans sa vie, je crois que je me suis vue comme quelqu’un qui pourrait l’aider là-dessus. Au finale cette relation fut toxique pour moi, tous ces problèmes sont devenus en quelques sortes les miens.
Je me souviens de relation sexuelle pas épanouie, que se soit pour elle ou pour moi. De son coté elle avait des soucis, et moi j’avais une fantasmagorie bien trop développée pour une fille sans expérience, et que je trouvais à ce moment-là un peu coincé. J’étais trop rude avec elle, sans m’en rendre compte sur le coup. Je lui acheté même de la lingerie, et des habits par amour pour elle, mais aussi par fantasme, elle n’était pas du tout réceptive.

La relation c’est envenimé peu avant qu’elle me large pour différente raison.

Cette séparation fut un coup dure pour moi, je l’aimais énormément, et je venais de perdre quelques semaines auparavant un être cher, dans des circonstances familials explosives. J’étais donc plein de ressentit et de colère.

J’étais dans une dépendance affective. Je voulais en quelques sorte qu’elle m’aide, comme j’avais essayé de l’aider. Même si je savais que notre relation était morte, je voulais qu’elle m’aide comme j’avais essayé de l’aider. Je me suis mis à être trop insistant, c’était devenue une forme de harcèlement.
Partagé entre tristesse, et colère, j’essayais de la croiser dans la rue en voiture, dans des endroits où je savais que je pourrais la voir.
J’ai fais preuve d’apitoiement, j’étais vraiment malheureux, je ne savais pas laché prise.

Puis elle s’est mis à sortir avec quelqu’un que je pensais être mon amie, ça m’a fait énormément de mal. J’ai continué mon comportement. Son nouveau gars, celui qui était mon ami je pensais alors, m’a enfoncé.
Puis le lendemain, ce qui avant était mes amis mon ignoré. Pas de bonjour, pas une parole, c’est comme si je n’existait pas. Ce fut violent, très très violent. L’ignorance, le pire des mépris.

Je me suis rendue de mon comportement, et du mal être, je me suis excusé sincèrement auprès d’elle par personne interposé, mais le mal était fait.

Cette période fut assez longue, ce fut un réel enfer à vivre. Les anciens amis ou relation de bonne camaraderie ne l’était plus. Une fois de plus je m’étais coupé des autres socialement, et c’était du à mon comportement de sexolique. Aujourd’hui je ne sais pas se que je lui ai trouvé, et pourquoi je ne me suis pas donnée la chance de partir dans une relation plus saine pour moi.

Je me suis une fois de plus, réfugié dans le porno pour compenser ma tristesse, mon ressentit envers d’autres ainsi que moi-même, et surement d’autres émotions. J’ai même fais une sorte de dépression, je ne dormais plus, je me vouais une aide très profonde, je n’avais jamais sentie un tel mal être, je pensais au suicide.
Alors que j’étais en stage dans une autoentreprise, et que j’étais seule entre midi et 2 dans l’entreprise, car on m’avait autorisé à manger sur place, je me souviens qu’a plusieurs reprises, je profitais de ce moment pour aller voir du porno sur internet, et me masturbais.
J’ai eu énormément honte de ça, cela aurait pu avoir des conséquences si je m’étais fait surprendre, c’était une réelle prise de risque. L’envie de luxure était si forte, je n’arrivais pas à me contrôler, c’était l’horreur. D’un coté y avait l’excitation du porno et du fap, et d’un autre coté j’aurais voulu éviter de faire cela. Encore aujourd’hui j’en ai vraiment honte.


Pendant cette période ,
Il y a 10 ans j'ai rencontré celle qui est devenue ma concubine, et avec qui je suis encore aujourd'hui.

A l’age de 22 ans environ, alors que nous étions à ce moment la ensemble dans un logement, et alors que je devais cherché du travail, puisque j’étais à la sortie de mes études, je me souviens d’avoir pris un abonnement à une chaine télé porno bien connue, alors que l’abonnement télé était à son nom, et donc l’argent pris sur son compte à elle.
Nous avions des soucis d’argent, donc elle m’a dis de supprimé l’option d’abonnement que j’avais pris. Bien plus tard, quand elle a su que j’avais un problème avec le porno, elle m’a dis ne pas savoir que s’était un abonnement porno que j’avais pris ce jour la.

En 2013 à l’age de 23 ans environ, j'arrête complètement le porno, je change de cursus professionnel, et part dans une nouvelle activité. J'avais peu accès à internet pendant 3/4 ans, j'avais plus d'abonnement à internet, et je travaillé beaucoup en déplacement. Une période instable dans le travail, certes, mais c'était finalement formidable d'avoir mis le porno derrière moi, je n'en ressentais plus le besoin.
Je me souviens que pendant cette période, j’ai réalisé pas mal de fantasme avec mon amie, mais une fois de plus j’étais dans le toujours plus, ce n’était jamais assez, et elle avait du mal à suivre mes envies parfois. Je la voyais pourtant peu, car pendant cette période nous n’étions plus en ménage, mais je ne ressentait plus le besoin d’aller voir du porno. Par contre le fap/masturbation étaient toujours présente.

Par contre j’ai gardé de la luxure via les réseaux sociaux, je suivais des pages à contenues érotisant, j’ai l’impression qu’il n’y a rien de bien méchant pour moi. Avec le temps je suis de plus en plus de pages différentes, et de contenue différent.

2 ans après, je reviens aux pornos, via des vidéos courte, via le smartphone. J’ai recommencé à basculer via cet outil. Je me contente de regarder quelques vidéos, occasionnellement, toujours sous la douche, en rentrant du boulot, ça me sert à décompresser de ma journée, et ça m’aide à me fapper. Voyant peu ma copine, je m’en sers comme excuse pour consommer.
Je me donne une sorte de règle, que je consommerais occasionnellement du porno par le bié uniquement du smartphone, de façon courte, uniquement dans la salle de bain, et de manière occasionnelle. A chaque fois j’oublie que me fixer des règles n’a jamais vraiment marché, mais sur l’instant j’y crois dur comme fer.

En 2017, vers l’age de 27 ans je me remet en ménage avec mon amie, et je sais pas pourquoi...
la connexion internet libre d'accès, plus de temps libre, ma copine qui a des horaires décalés avec les miens, envie de fantaisie à mettre dans mon couple, frustration de moins de rapport fantaisiste dans notre couple, ma femme est plus dans son boulot qu’autre chose.
je me remet à regarder du porno via l’ordi, alors que je m’étais mis une sorte de règle de ne plus jamais regardé du porno via ce bié.
Je recommence à regarder des vidéos, mais aussi regarder des vidéos de tchats virtuels, je trouve ça très excitant car plus imprégné de réelle, car en direct. J’avais ma fantasmagorie fétiche, les corps sous toute leurs courbes différentes, l’habillement sexuel, les objets, j’étais au top du top de la luxure pour moi. Et tout ça en vidéo de qualité via l’ordi, et avec le son.
Je me souviens qu’avant de recommencer à visionner via l’ordi, ça m’a fais bizarre, comme si j’en avais perdue l’habitude, que je ne savais plus comment m’y prendre, j’ai même eu un instant de doute « tu es sur de ce que tu fais ? » .
Mais vous savez quoi, une fois de plus c’est l’envie de luxure qui a gagnée. Et quelques semaines après c’était trop bon, je ne pouvais plus m’en passer. La jouissance procurer était plus forte que les conséquences potentiel.

J’ai eu d’autres épisode de luxure. Sur la même période, alors que j’étais en mission d’intérim, une femme d’une 20’aine d’année est venue faire un stage pour ça formation adulte.
Elle était gentille, souriante, et je lui trouvé beaucoup de charme avec ses origines étrangères. J’arrive plus à me souvenir si elle avait un accent ou pas, mais il m’arrive d’être charmé par la voie d’une femme, et je crois que c’était le cas.
Je me souviens d’avoir fantasmé, sur une relation avec elle, à la fois sentimentale, et sexuelle. Comme d’habitude je me suis masturbé chez moi en pensant à cette idée. En me disant dans des courts moments, que je pourrais quitter ma femme pour elle, ou que je pourrais la tromper avec elle, ou ce genre d’idée loufoque. Alors que j’aime ma femme, et qu’il n’y avait rien d’autres qu’une bonne relation de bonne camaraderie.

Quelque mois plus tard on redéménage en catastrophe suite à un problème de voisinage. J’avais au départ de très bonne relation avec mon voisin direct, qui habité dans la même habitation. Car il faut savoir que j’ai toujours fais des efforts pour aller vers les autres, mais mon comportement les en a souvent détourné.
J’avais eu affaire à un manipulateur qui s’était joué de moi malgré ma gentillesse sincère à son encontre au départ. Menace de mort ou de violence à peine déguisé, insulte envers mes origines, dégradations de bien notamment sur véhicules et logement, tentative de tuer notre animal de compagnie, et j’en passe.

Je rentrais chez moi du boulot, avec un pied de biche caché sous ma veste, « au cas où ». Je lui ai même jeté un volet du premier étage sous la colère, de ses insultes, et de ses coups tordus toujours fais dans notre dos.
Une fois de plus le porno m’aide à me canaliser, ma très grande tristesse, qui se transforma vite en très grande colère. Je suis dans un état de nerd comme je n’ai jamais été, j’ai de la rancœur et une envie de vengeance énorme. J’ai même penser à le tuer à une période, avant de réaliser ceux à quoi je pensais.
Je m’étais reconstruit, lui m’a détruit.
je ne réalisé plus de projet, je n’ai plus de hobby. Le porno devient peu à peu ma seule distraction. Je n’ai plus réellement de plaisir de regarder du porno en me fapant, ça devient mon remède.


Nous déménageons. J’ai toujours 27 ans.
Coté sociable, je me dis qu’on m'y reprendra plus à être trop sociable, trop gentil, je décide donc de mettre un petit peu de distance avec le nouveau voisinage, pour me prémunir d'une telle situation. Je finis de me referme sur moi, je suis dans la promiscuité ultime.

Quelques semaines après s'être installé dans notre nouveau chez nous, je reprends ma conso’ ou je l’avais laissé.
Je reprends le porno de plus belle. Je regarde du porno sur l’ordi, le téléphone, avec le son, je consomme dans toutes les pièces, à tout moment, je crois faire attention, mais je prends des risques.

Quoi de mieux pour se détendre qu’un bon PMO n'est se pas ? Histoire de tromper l’ennui ….

Et la c’est la douche froide, c’est le début de la conséquence sociale qui dure depuis 4 ans, de mes 27 à mes 31 ans. Mais voisin on entendue ne serait se qu’une fois mes visionnages.
Mal grès des efforts pour améliorer mes rapports de voisinages (qui a a marché avec certain, enfin je crois), je suis devenue le "pervers du quartier" pour faire simple, le type infréquentable.

Mais globalement le mal était fait, le voisinage ça change (les gens déménagent, d'autres arrives), mais mal-grès des efforts continue de sociabilité, les regard changeaient quand il savait (regard de haine, moqueur, ou inquiet), et même les bonjour/au revoir c'était fini.
Au départ je minimiser la chose en me disant,
ça craint, mais je me disais que je n'avais tué ni blessé personne physiquement parlant, je minimisé ce que j'avais fait (même involontairement).

Ce qui me rends le plus mal à l'aise, c'est potentiel par rapport à leurs enfants à l'époque.
Le téléphone arable faisant sont effet, les mères en ont probablement parlé entre elle (c'est même sur), peut-être même à l'école du quartier.
On ne m'entendait plus, mais le mal était fait.
Pendant le 1er confinement, les rapports semblaient changés, des gens sont venues me parlé, et échangés, etc
Je pensais à une normalisation des rapports de voisinage.
Autant dire que depuis les couvre feu/déconfinement, et mal-grès des efforts sincères pour faire oublier ce que j'avais commis involontairement, tout est redevenue comme avant (depuis le covid les gens se replient sur eux finalement).

Après m’être fait prendre, j’ai essayé de limiter ma conso’, puis d’arrêter, mais je n’y arrivais tout simplement pas. L’attraction était trop forte. L’envie d’aller mater du porno laissé place à la honte, et la culpabilité.

Au dernier confinement, j’ai fais une dépression, j’ai perdue 5 kilos.
Je ne cherchais plus à faire des efforts, je reste cloitré chez moi et ne me montre pas dehors, je n'ose même plus allez bricoler dans le jardin ou le garage, tellement j'avais honte.
Je ne regardais plus que du porno par le smartphone, mais quasi plus que des photos, moins de vidéo. Les tchats virtuels j’ai arrêté il y a 3 ans et demi au moins. J’ai essayé pendant 4 ans de contrôler ma conso, j’étais dans la demi mesure. Puis j’ai finis par supprimer le smartphone. Et je me suis rendue compte que les pages érotiques des réseaux sociaux, me faisait rechuter.

Plus tard j’ai fais des recherches sur la dépression. Puis de fil en aiguille sur la dépendance pornographique, ce fut un choc pour moi, une révélation, j’avais un très gros problème. Puis j’ai découvert les forums de partage, DASA, et SA. Et j’ai également compris que la conso’ de porno n’était pas mon seul problème.

J’ai rejoint SA, j’avais arrêté depuis quelques semaines le pornos, puis j’ai réussie a arrêté la masturbation avec mon parrain, puis d’autres choses dans ma vie fut changée.


Depuis 1 mois j’ai déménagé, à 8 km de mon ancien logement. Je me suis pacsé, et j’ai acheté ma 1er maison avec ma blonde. Pour le moment ça se passe mieux avec mon nouveau voisinage. Mais je suis dans la crainte qu’un jour eux aussi ils sachent.

Aujourd'hui, j'ai tout arrêté le porno, et je suis aussi en pleine conscience de mes actes passé.
J’ai aussi arrêté le fap, alors que ça me paraissait impossible.
Mais tous les jours je pense à la mort, a ou et quand j’en finirais, ou bien y a-t-il un échappatoire en S.A.. Je n’en sais rien. Je cherche même le scénario ultime, pour que mon suicide ne passe pas pour un suicide, mais un accident, pour que ma femme garde la maison. Je suis un jour après l’autre moins dans les fantasmes. Mais chaque journée est dure.
#11 - Voir le message

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