"Le salut a un coût."
Mon histoire est simple et tristement commune.
J'ai eu le même parcours que nombre d'entre vous, je pense. J'ai grandi dans un foyer monoparental, et ai eu accès très jeune à internet (vers 4 ou 5 ans). Ma mère, optant pour une pédagogie du laisser-faire, m'a permis de me développer seul, bien qu'elle ait été toujours présente, bien sûr. Cette liberté m'a offert une curiosité intellectuelle aiguisée, et un de manière générale, de l'intérêt pour tout et n'importe quoi. Typiquement, j'ai grandi comme le bon élève, celui qui avait des capacités, mais sans jamais être le premier de la classe.
Mon premier contact (dont je me souviens en tout cas) avec la pornographie a eu lieu quand j'avais 6 ou 7 ans je dirais. Les grands frères d'un ami d'enfance ont voulu nous faire partager (à mon copain et moi) leur découverte : une vidéo porno sur le site qui commence par "You" mais qui ne finit pas par "Tube". N'étant pas encore chargé d'hormones, cela m'avait laissé assez circonspect. C'est quelques années plus tard, vers 10 ans que je découvre les vieilles revues porno de mon oncle en fouillant dans un grenier... Là, ma réaction était tout autre. Pas de masturbation encore (je ne pouvais pas physiquement et n'y pensais pas), mais une curiosité intense. Ensuite, c'est les films érotiques de minuit... Puis les jeux flash un peu coquins... Et enfin les jeux véritablement porno vers 12 ans. Jusqu'à mes 20 ans, je rentre dans le quotidien d'une génération d'hommes : du temps à tuer, jeux flash porno, vidéos porno, orgasme sans saveur, et on recommence.
Mais en 2020, plusieurs événements m'ont poussé à me remettre en question. La pandémie, bien entendu, qui nous a forcé à l'introspection, perclus dans nos appartements. Mais avant ça, une séparation chaotique avec ma première "réelle" copine. Celle avec qui je m'étais dépucelé pour de bon (bien qu'ayant eu une expérience sexuelle avant). Motivé par les recherches scientifiques qui ne cessaient d'abonder sur les effets nocifs de la pornographie et, soyons honnêtes, la vidéo de Valek, je me suis inscrit sur le site pour le NNN 2020.
Et me voilà.
Mon histoire est simple et tristement commune.
J'ai eu le même parcours que nombre d'entre vous, je pense. J'ai grandi dans un foyer monoparental, et ai eu accès très jeune à internet (vers 4 ou 5 ans). Ma mère, optant pour une pédagogie du laisser-faire, m'a permis de me développer seul, bien qu'elle ait été toujours présente, bien sûr. Cette liberté m'a offert une curiosité intellectuelle aiguisée, et un de manière générale, de l'intérêt pour tout et n'importe quoi. Typiquement, j'ai grandi comme le bon élève, celui qui avait des capacités, mais sans jamais être le premier de la classe.
Mon premier contact (dont je me souviens en tout cas) avec la pornographie a eu lieu quand j'avais 6 ou 7 ans je dirais. Les grands frères d'un ami d'enfance ont voulu nous faire partager (à mon copain et moi) leur découverte : une vidéo porno sur le site qui commence par "You" mais qui ne finit pas par "Tube". N'étant pas encore chargé d'hormones, cela m'avait laissé assez circonspect. C'est quelques années plus tard, vers 10 ans que je découvre les vieilles revues porno de mon oncle en fouillant dans un grenier... Là, ma réaction était tout autre. Pas de masturbation encore (je ne pouvais pas physiquement et n'y pensais pas), mais une curiosité intense. Ensuite, c'est les films érotiques de minuit... Puis les jeux flash un peu coquins... Et enfin les jeux véritablement porno vers 12 ans. Jusqu'à mes 20 ans, je rentre dans le quotidien d'une génération d'hommes : du temps à tuer, jeux flash porno, vidéos porno, orgasme sans saveur, et on recommence.
Mais en 2020, plusieurs événements m'ont poussé à me remettre en question. La pandémie, bien entendu, qui nous a forcé à l'introspection, perclus dans nos appartements. Mais avant ça, une séparation chaotique avec ma première "réelle" copine. Celle avec qui je m'étais dépucelé pour de bon (bien qu'ayant eu une expérience sexuelle avant). Motivé par les recherches scientifiques qui ne cessaient d'abonder sur les effets nocifs de la pornographie et, soyons honnêtes, la vidéo de Valek, je me suis inscrit sur le site pour le NNN 2020.
Et me voilà.
Un NNN réussi sans soucis, c'est déjà une formalité pour moi depuis 1 an mais maintenant que j'ai une copine, c'est encore plus simple. Bon courage à tout le monde !