Je n'ai jamais ressenti le besoin de m'allumer le sabre-laser jusqu'à la fatidique rupture de ma première relation durable avec une fille.
J'avais le cœur brisé, et ma vie sexuelle ne faisait désormais plus qu'un avec la Force.
J'ai très vite voulu rechercher seul (en vain) les sensations procurées par le coït entre amoureux, et j'ai donc développé une dépendance à l'auto-plaisir. J'en avais absolument honte, mais j'avais besoin de cette illusion.
Pendant quelques semaines j'ai fait cracher des étincelles à ma vibrolame sans support visuel, puis il vint un moment où l'imagination ne suffisait plus et j'eu besoin de plus. Et vous savez ce que c'est: on veut toujours plus.
A donc commencé à 19 ans mes premiers coups de blasters dans le vide devant du contenu pornographique.
À partir de là, je n'ai cessé de m'enfoncer dans le côté obscur de l'onanisme.
Mon cœur fragile de Jedi (ils nous avaient pourtant dit de ne pas nous attacher!) a, il y a quelques temps, été à nouveau pulvérisé par le détonateur thermique d'une fin de relation amoureuse.
Depuis, j'ai quotidiennement été le pantin de ma faiblesse de célibataire désespéré.
Une victime toute désignée pour les Seigneurs Sith SPOILER , qui m'ont fait rechuter à chaque fois que je commençais à ramper vers le côté lumineux de la Force.
Aujourd'hui, je veux simplement d'une vie où je puisse être maître de moi-même, et non esclave de mes pulsions obscures qui, quand je leur cède, empirent gravement ma dépression.
Je veux retrouver définitivement ce que chaque vision honteuse du lait vert répandu sur mon abdomen me fait perdre:
ma confiance en moi, une bonne mentalité, une certaine énergie, une gestion intelligente de mon temps libre, une maîtrise totale de mon être, et enfin une tranquillité et une sérénité plus que bienvenues.
Bref, la joie et l'envie de vivre.
Car comme l'a très bien dit Ahsoka Tano à son maitre Anakin Skywalker:
"Suicide is not the Jedi way"
J'avais le cœur brisé, et ma vie sexuelle ne faisait désormais plus qu'un avec la Force.
J'ai très vite voulu rechercher seul (en vain) les sensations procurées par le coït entre amoureux, et j'ai donc développé une dépendance à l'auto-plaisir. J'en avais absolument honte, mais j'avais besoin de cette illusion.
Pendant quelques semaines j'ai fait cracher des étincelles à ma vibrolame sans support visuel, puis il vint un moment où l'imagination ne suffisait plus et j'eu besoin de plus. Et vous savez ce que c'est: on veut toujours plus.
A donc commencé à 19 ans mes premiers coups de blasters dans le vide devant du contenu pornographique.
À partir de là, je n'ai cessé de m'enfoncer dans le côté obscur de l'onanisme.
Mon cœur fragile de Jedi (ils nous avaient pourtant dit de ne pas nous attacher!) a, il y a quelques temps, été à nouveau pulvérisé par le détonateur thermique d'une fin de relation amoureuse.
Depuis, j'ai quotidiennement été le pantin de ma faiblesse de célibataire désespéré.
Une victime toute désignée pour les Seigneurs Sith SPOILER , qui m'ont fait rechuter à chaque fois que je commençais à ramper vers le côté lumineux de la Force.
Aujourd'hui, je veux simplement d'une vie où je puisse être maître de moi-même, et non esclave de mes pulsions obscures qui, quand je leur cède, empirent gravement ma dépression.
Je veux retrouver définitivement ce que chaque vision honteuse du lait vert répandu sur mon abdomen me fait perdre:
ma confiance en moi, une bonne mentalité, une certaine énergie, une gestion intelligente de mon temps libre, une maîtrise totale de mon être, et enfin une tranquillité et une sérénité plus que bienvenues.
Bref, la joie et l'envie de vivre.
Car comme l'a très bien dit Ahsoka Tano à son maitre Anakin Skywalker:
"Suicide is not the Jedi way"